Je suis complétement passé à côté de Flavien Berger et de son premier album. Ce n’est pas une raison pour laisser filer celui-là, parait-il plus accessible.
Pourtant c’est un album très expérimental, électro, pop, bourré de trouvailles et de sonorités. C’est planant, électro, barré, mais aussi très pop, limite variété française. En fait cet album est un patchwork, un collage divers d’enregistrements pris sur le vif, de sensations, de bouts de phrases, d’idées, de couleurs, de motifs électro, de ritournelles pop, de prog, de messages abscons et profonds. Ça peut dérouter, on peut trouver ça loufoque, mais c’est impressionnant de maîtrise et de trouvailles.
Pourtant c’est un album très expérimental, électro, pop, bourré de trouvailles et de sonorités. C’est planant, électro, barré, mais aussi très pop, limite variété française. En fait cet album est un patchwork, un collage divers d’enregistrements pris sur le vif, de sensations, de bouts de phrases, d’idées, de couleurs, de motifs électro, de ritournelles pop, de prog, de messages abscons et profonds. Ça peut dérouter, on peut trouver ça loufoque, mais c’est impressionnant de maîtrise et de trouvailles.
Un peu inclassable mais très bon, du début à la fin, sans aucune baisse de régime. Le renouveau de la pop française à son paroxysme !
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