Souvenez-vous
l’année dernière vers le printemps. « C’est quoi ce nouveaux
Phoenix ? » « On ne reconnait pas la voix… » « Rooooh
les copieurs. » « Mais c’est pas mal quand même. » Voici comment
avait été reçu le premier single Gimme Twice de The Concept (précédemment The
Concept Store et devenu depuis The Royal Concept, surement pour des raisons de
visibilité Google)
Revoici
nos copieurs préférés, sensation de l’année dernier avec une reprise/hommage
dans la catégorie qu’il est maintenant commun d’appelée dans la presse
spécialisée autorisée « phoenix like sunshine pop ». Donc les voilà
avec le premier LP, Goldrushed.
L’album
est composé de pas mal de titres déjà sortis sur les précédents EP pour ceux
qui suivent un peu le groupe : In The End, World On Fire, On Our Way
D-D-Dance et Goldrushed.
Le style
a un peu changé, reste très sunshine pop, mais s’écarte un peu de Phoenix,
certain dirons vers le mainstream… Reste de bonnes chansons, en plus des déjà
connues : Girls Girls Girls bien dynamique, peut-être la meilleur de
l’album, Busy Busy avec son refrain Two-Door-Cinema-Clubisant (et un bégaiement
phoenixien du plus bel effet), Cabin Down Below avec un petit côté RnB qui
finit gospel avec de très bon chœurs et son solo de Sax so 1987 euh 2013, un
peu risible quand même.
Shut The
World lorgne vers du Dog Is Dead avec une touche de Coldplay, Radio
et Tonight restent de facture assez classique et s’en sort aussi pas trop
mal, les déjà connues D-D-Dance (très bonne mais très Phoenix, provenant du
tout premier EP), In The End et Goldrushed s’en sortent bien, les déjà connues
On Our Way et World On Fire moins bien.
J’avais
un peu peur suivant la sortie du single On Our Way pas franchement réussi (un
peu trop Empire Of The Sun dernier album et avec un refrain faisant penser à du
O-zone, bon d’accord c’est très sévère…), mais il faut reconnaitre que cet
album tient plutôt bien la route malgré quelques glissement assumés ou non dans
le mainstream pour BO de supermarché (On Our Way donc, mais aussi Damn très
Katy Perry like). De la bonne sunshine pop sans prétention donc, plus libérée
du joug Phoenixien, dommage que l’été soit fini.
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