mardi 10 janvier 2017

Lawrence Arabia – Absolute truth #lawrencearabia





J’ai eu du mal à trouver ce petit bijou ! Car le son vient de loin, de l’autre côté du globe. James Milne, celui qui est derrière Lawrence Arabia est néozélandais. Parfaitement inconnu par chez nous. D’ailleurs, quand on cherche sur internet on trouve quelques articles néozélandais, et on y apprend qu’Absolute Truth est son 4èmealbum. Je ne sais pas comment Jacques a déniché ça, en tout cas c’est vraiment sympa. On est dans quelque chose de très proche de The Leisure Society (si vous ne connaissez pas honte à vous ! c’est tellement génial !), c’est ultra pop, classique 60 ‘s, dans un style Kinks, Beatles (anglais quoi) voire un peu pop 70’s, mais en plus moderne quand même dans la production. L’album possède aussi son lot de tubes imparables (qu’on s’entende quand je parle de tube, vous ne l’entendrez pas sur Virgin Radio, mais on y trouve de la vraie pop qui reste en tête avec des mélodies parfaites et délicates !) : A Lake (parfaite et rythmée), Sweet Dissatisfaction (parfaite aussi, un peu laid-back), I Waste My Time, The Palest Of Them All. On y trouve aussi des ballades mélancoliques comme O Heathcote, on y croise la croisière s’amuse sur les arrangements de Another Century, un sitar très Norvegian Wood sur Brain Gym ou Pink Floyd sur What Become Of That Angry Young Man. C’est vraiment une super surprise, les mélodies sont belles et limpides, c’est bien produit, la voix de James Milne est vraiment attachante. Que demander de plus ? Un peu plus de reconnaissance. Je m’y attelle !

En tout cas, maintenant que j’ai mis la main dessus, je vais l’écouter ce disque !


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