mardi 2 juillet 2019

Andrew Bird – My Finest Work Yet #andrewbird



Avec un titre pareil, Andrew Bird a confiance en son nouvel album, ou alors il se sous-estime vachement. Surement un peu des 2. Car il est vrai que cet album est très bon. On y retrouve ce qu’on aime chez l’homme oiseau qui se plait à siffloter au long de ses chansons. Parfait timing, comme les hirondelles, Andrew arrive avec le printemps et fait un bien fou. Sa voix fait toujours des merveilles, ses arrangements aussi. C’est délicat, tantôt jazzy (Bloodness), tantôt plus pop, mais toujours richement enluminé : banjo, violons, contrebasse, on sent la chaleur des cordes s’accorder à sa voix et ses sifflements. 

Et puis une fois qu’on a écouté l’imparable Sisyphis qui commence l’album on ne peut plus s’arrêter.


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