mardi 2 juillet 2019

Lawrence Arabia - Lawrence Arabia’s Single Club #lawrencearabia



Après un très bon Absolute Truth sorti il y a plus de 2 ans, James Milne revient avec un nouvel album, meilleur. Les mélodies sont toujours aussi belles mais sa pop de chambre type Divine Comedy s’est étoffée, la production est plus luxuriante tout en étant plus subtile. On note un retour vers une production très 70’s, basse bien ronde, synthés scintillants, parfaitement mis au gout du jour par les Arctic Monkeys et Jacco Gardner. Ici la voix en falsetto, planante, fait des merveilles sur cette instru. C’est lumineux, rêveur, on pense à Air. Mais pas que. Car c’est bien là la caractéristique de cet album : il n’a pas été pensé pour être cohérent mais plus comme une compil de single. On passe donc de Every Body Want Something géniale chanson pop, type 70’s dans l’instrumentation (c’est un tube comme on dit dans le milieu) à Cecily, un titre psychédélique bien plus excité qui rappelle du Pink Floyd de Pipper at the Gate of Dawn sous ecstasy. Le tout pour continuer une balade sexy à souhait avec cuivre digne d’un générique de James Bond. La couleur reste globalement la même et l’album reste très agréable.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire